Aaaaaaaaaaahhhh !!!!

Pardon, désolé. Excitation incontrôlée… On recommence sur des bonnes baaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh !!!!!

… Ahem. Calmons-nous. Respirons. Ceci n’est absolument pas une bonne nouvelle de dingue de la hyyyyyype… Rah, mais administrez-moi une dose de calmants !

*ftump ftump*

Et ça va mieux. Bon, où en étions-nous déjà ? Ah oui : SNIPPERCLIPS SORTIRA LE JOUR DE LA SORTIE DE LA NINTENDO SWITCH ET ON VA TOUS PANIQUER PARCE QUE ÇA FAIT AU MOINS QUATRE EXCELLENTS JEUX AU LANCEMENT AAAAAHHH !!!!

Pourquoi suis-je aussi enthousiaste ? Eh bien c’est bien simple : Snipperclips est le meilleur jeu auquel j’ai joué lors de l’événement que Nintendo avait organisé à Paris en Janvier dernier. Le principe est simple : vous incarnez un morceau de papier et vous devez résoudre des énigmes en découpant votre partenaire et en communiquant avec lui/elle. Le mode que l’on avait essayé était clairement conçu pour être joué à deux, l’entraide étant capitale et il y a énormément de potentiel pour que ce jeu devienne le préféré des streamers en duo.

Aujourd’hui, nous apprenons aussi que le jeu pourra être joué en solo (même si j’ai encore du mal à imaginer comment) ou à deux avec un enchaînement de niveaux classique et qu’un mode Party nous permettra d’y jouer jusqu’à quatre pour un maximum de chaos coopératif ou bien compétitif via des mini-jeux qui promettent d’être assez dingues.

Le jeu coûtera 20€ en téléchargement et si jamais vous voulez une seconde paire de Joy-Cons pour jouer à quatre ou bien jouer à d’autres jeux plus complexes à deux, sachez qu’un bundle incluant un code de téléchargement pour le jeu sera aussi mis en vente. Et si jamais vous êtes indécis, une démo sera mise en ligne au lancement de l’eShop vendredi matin, histoire que vous puissiez gentiment être convaincus du potentiel du titre.

Bref, autant dire que ce qui semblait être un lancement assez rachitique le mois dernier vient de faire un virage à 180° pour le meilleur (plus d’excellents jeux à faire) et pour le pire (plus de jeux à tester pour les critiques… Adieu vie sociale).

Benjamin « Red » Beziat